Il existe déjà un mécanisme de plafonnement : les entreprises peuvent demander un dégrèvement lorsque la somme de la CFE et de la CVAE dépasse 3 % de la valeur ajoutée. Il en coûte à l'État 1 milliard d'euros par an environ.
Vous proposez un nouveau plafonnement qui, selon la rédaction actuelle de l'amendement, ne serait pas remboursé par l'État mais resterait à la charge des collectivités locales.