Ce dernier propos du président m'alarme, car ces variables d'ajustement sont précisément ce qui permet de compenser, pour 26 % seulement, les différents dégrèvements que subissent les collectivités. Si elles diminuent encore, ce sont les communes les plus pauvres qui en pâtiront le plus. Nous demandons donc au secrétaire d'État au budget non seulement des simulations, mais des chiffres précis.