Sauf erreur, vous avez bien évoqué l'Allemagne.
Derrière tout cela, la question qui est posée est bien celle de l'inversion de la hiérarchie des normes, sur laquelle vous ne vous prononcez pas vraiment. Dès lors que l'on est attaché au dialogue social et convaincu, comme vous dites l'être, que l'évolution du monde du travail a rendu certaines adaptations nécessaires, et que le dialogue passe par des interlocuteurs ayant eux-mêmes des difficultés dans leur positionnement, comment, selon vous, peut-on donner à ces interlocuteurs la capacité d'être de vrais intervenants ? Par ailleurs, au niveau de l'entreprise, de quelle manière peut-on préserver les droits des salariés tels qu'ils sont actuellement définis dans le code du travail ?