J'admets l'argument de M. Jacquat. Et je réponds à M. Accoyer qu'il n'est pas inutile de rappeler aux étudiants qu'ils peuvent accéder à certains soins dans des centres de santé qui, que je sache, n'ont pas fait la preuve de leur inefficacité. Ces centres, à côté de la médecine de ville, sont un autre moyen de délivrer des soins. Pourquoi devrait-on les écarter d'un revers de main.