Les dispositions que cet amendement a pour objet de rétablir paraissent quelque peu décalées, eu égard à la nécessité d'une harmonisation du droit européen et compte tenu de l'ouverture de la France au reste du monde. La prévention des troubles du comportement alimentaire, leur diagnostic, leur prise en charge sont déjà bien connus. Il s'agit là de questions sanitaires et pathologiques comme les autres. Pourquoi les stigmatiser par de telles dispositions ?