Il s'agit de rétablir un article adopté à l'Assemblée nationale que le Sénat a supprimé. Il proposait que la prévention de la dénutrition soit l'une des priorités de la politique de santé publique. Nous avions convaincu les députés dans cette commission et dans l'hémicycle.
Ce sujet touche 800 000 personnes en France, des personnes âgées, y compris certaines placées dans des établissements d'accueil.
Il faut réinscrire cette priorité parmi les objectifs de la politique de santé, car il s'agit d'un problème bien réel et dramatique.