On retrouve là le cheval de bataille d'une certaine gauche contre les ordres professionnels… Rappelons ici que l'ONI a été créé à la demande non du Parlement ni du Gouvernment, mais bel et bien de la profession. Il joue un rôle majeur en matière de déontologie et d'éthique, notamment pour ce qui est du contrôle des documents nécessaires à l'exercice libéral, en particulier le casier judiciaire. Voudriez-vous revenir à la situation antérieure où prévalaient les syndicats ? Sans doute cela ne vous déplairait-il pas.
La suppression de l'ordre national des infirmiers, madame Le Houerou, ouvrirait la boîte de Pandore : elle ferait jurisprudence et tous les autres ordres pourraient disparaître.
Vous l'aurez compris, nous tenons à ce que l'ONI soit maintenu.