Nous sommes ici à la limite entre la prévention et le soin… J'estime que les médecins du travail, qui sont avant tout des médecins, et voient parmi les salariés qu'ils examinent le même pourcentage de fumeurs qu'au sein de la population française – environ 30 % – seraient bien inspirés de leur prescrire des substituts nicotiniques, afin de les aider à se libérer du tabac. Je suis donc défavorable à cet amendement.