Pour ma part, je connais assez bien le saumon écossais, et je peux confirmer que de larges portions des côtes d'Écosse ont été détruites par l'aquaculture, essentiellement du fait d'une pollution des eaux résultant des déchets rejetés. S'il est difficile de soutenir cet amendement en raison de son caractère maximaliste – pas une station d'épuration ne peut garantir une absence totale d'effluents et de rejets –, je n'en suis pas moins d'accord avec Laurence Abeille pour considérer qu'une absence d'encadrement de l'aquaculture aurait des conséquences dramatiques.