Sans constituer la panacée, les logiques de filière et la « chasse en meute » sont bien entendu essentielles. Du photovoltaïque aux batteries, en passant par les matériaux légers pour l'automobile et l'aéronautique, certaines filières à forte composante technologique ont besoin de la chimie. Le programme des investissements d'avenir a permis des avancées dans la création de filières ; Arkema participe, par exemple, au projet Compofast.
Les pôles de compétitivité jouent eux aussi un rôle important. Arkema est très présent au sein d'AXELERA, dont il est un des membres fondateurs. Tout ce qui vient en complément du crédit d'impôt recherche, qu'il s'agisse du programme des investissements d'avenir ou des pôles de compétitivité – pour peu qu'ils soient régulièrement évalués –, va dans le bon sens.
Quant aux liens entre industrie et réseaux bancaires, nous devons bien entendu être en mesure de financer nos développements, mais nous n'avons pas de soucis particuliers en ce domaine.