Je prends bonne note de votre interpellation, monsieur Lefebvre, et j’en ferai part à la conférence des présidents de mardi prochain. Je vous rappelle simplement, ainsi qu’à l’ensemble de nos collègues, que les semaines de contrôle permettent aux députés d’organiser des débats, avec ou sans vote, ou encore des séances de questions cribles. Bizarrement, ces séances attirent beaucoup moins les foules que celles consacrées à l’examen des projets de loi, notamment des projets de loi de finances, dont l’examen devient prétexte à toutes sortes de débats certes passionnants, mais qui ressurgissent inlassablement en deuxième lecture et lors de l’examen du projet de loi de financement de la sécurité sociale – je pense par exemple au débat sur le tabac.