Au nom de l’opposition, je remercie – comme les précédents orateurs – le personnel de l’Assemblée nationale : ils ont beaucoup de mérite à écouter nos débats, qui parfois s’éternisent, et sont, il faut bien le dire, d’une qualité hétérogène.
Je salue également mes rares collègues qui s’intéressent encore aux enjeux budgétaires : nous sommes encore une quinzaine dans l’hémicycle : sur cinq cent soixante-dix-sept, cela ne fait pas beaucoup !
Je souhaite bon vent à votre directeur de cabinet, monsieur le secrétaire d’État, qui a eu beaucoup de mérite à vous supporter.