Avec Daniel Goldberg et quelques autres collègues, nous avons rencontré des salariés d'Air France et je suis frappée par la différence entre la froideur des chiffres, nécessaire à l'analyse, et l'inquiétude humaine du personnel. Les salariés ont le sentiment d'avoir consenti des efforts en termes de productivité. Certains seraient même allés plus loin que ce que vous attendiez. Ils ne comprennent donc pas l'évolution de la situation. Comment entendez-vous améliorer les conditions du dialogue et lever les incompréhensions du personnel, le rassurer ?