Merci pour toutes ces précisions. Contrairement à nous, les parlementaires allemands anticipent les décisions et s'y préparent très en amont, s'agissant par exemple, aujourd'hui, du Sahel ou de la Syrie. Les interventions à l'extérieur ne se décidant pas de but en blanc, la différence entre nos deux systèmes ne me paraît pas constituer un obstacle à notre coopération et je suis personnellement très favorable à votre manière de faire. Je l'avais d'ailleurs prônée comme modèle lors du précédent Livre blanc, car j'estimais que le Parlement devrait se prononcer sur une intervention non pas au bout de quatre mois, mais tout de suite. Malheureusement, ce ne fut pas l'avis de tous mes collègues !