… l’une en décembre 2012, et j’avais déjà évoqué alors cet ennemi intérieur et extérieur, l’autre en décembre 2014. Nous sommes d’ailleurs allés plus loin encore sur ce sujet-là, puisque les sites provoquant au terrorisme ou en faisant l’apologie peuvent désormais être bloqués et déréférencés dans le cadre administratif à titre préventif, donc pas seulement sur l’initiative d’un magistrat judiciaire, comme vous l’aviez proposé en 2012.