D’abord, vous parlez de la nécessité de passer davantage au crible les personnes qui travaillent dans les entreprises de transports en commun. Cela existe pour un certain nombre de professions – c’est le cas des employés des centrales nucléaires ou d’autres sites sensibles. Il est donc possible, dans le cadre de la Constitution, d’étendre aux réseaux de transports ces dispositions. Nous l’avons envisagé avec les sociétés de transport en commun, nous sommes donc tout à fait prêts à le faire.