Dans le contexte actuel, monsieur le secrétaire d’État, chers collègues, tous ici nous comprenons que l’impératif est la cohésion de la nation. Mais la cohésion de la nation exige la cohérence de vos choix, de nos choix collectivement. Or la cohérence n’est pas au rendez-vous.
Quand le Président de la République oppose pacte de sécurité et pacte de stabilité, comme il l’a fait hier, hélas ! il prend une très lourde responsabilité.