Intervention de Christophe Sirugue

Séance en hémicycle du 23 novembre 2015 à 16h00
Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2016 — Discussion générale

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaChristophe Sirugue :

Monsieur le président, madame la ministre, madame la présidente de la commission des affaires sociales, mesdames et messieurs les rapporteurs, mes chers collègues, au-delà de cette nouvelle lecture du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2016, qui nous a déjà permis de débattre de nombreux éléments, je voudrais revenir sur les débats qui ont eu lieu au Sénat et le texte qui y a été voté.

Je le fais d’autant plus volontiers que j’ai bien compris en commission, comme tout à l’heure lors de la présentation des motions de rejet préalable et de renvoi en commission de l’opposition, qu’il s’agissait là d’éléments fondamentaux de son projet politique.

Je voudrais souligner que les décisions du Sénat sont riches d’enseignements. On nous dit, depuis des mois, en nous faisant la leçon, qu’il est nécessaire de réaliser des économies. De fait, nous avons pris la résolution de faire des économies, non par principe, mais parce que nous sommes conscients que les comptes publics doivent évoluer, que nous devons faire preuve de responsabilité vis-à-vis des générations futures. Or, premier enseignement : les mesures adoptées par le Sénat n’ont fait qu’accroître les charges que fait peser ce budget.

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