Pardon, la loi de 1955 : vous aviez corrigé ! Nous attendons désormais la loi qui permettra, dans les plus brefs délais, de mettre en application les propositions que nous avons faites.
Monsieur le Premier ministre, à l’heure où le peuple français enterre ses enfants, il oscille toujours entre recueillement, émotion, colère et interrogations – interrogation notamment sur le parcours de ces djihadistes dont certains étaient fichés et qui ont pourtant commis l’irréparable à Paris. Nous devons collectivement la vérité aux Français.