La guerre que nous livrons, nous la gagnerons ici, en France ; nous la gagnerons dans une Europe qui accepte de se protéger, qui accepte de contrôler et de surveiller ses frontières, mais aussi en frappant durement l’État islamique là où il prospère.
Monsieur le Premier ministre, nous souhaitons vous entendre sur un second sujet : le Président de la République rencontrera Vladimir Poutine jeudi ; demain, notre Assemblée votera la prolongation de l’intervention militaire en Syrie. Avec l’arrivée sur zone du porte-avions Charles-de-Gaulle, la France est en situation d’intégrer la grande coalition que notre groupe parlementaire appelle de ses voeux depuis deux ans. Ma question est donc simple : où en est notre nouvelle stratégie d’alliance diplomatique et militaire en Syrie ?