Vous me parlez de la commune de Pexonne qui, dites-vous, se verrait imposer par l’État l’arrivée de migrants qu’elle ne souhaiterait pas accueillir. C’est totalement faux. Je dis solennellement devant la représentation nationale qu’au terme de discussions qui ont eu lieu avec la collectivité locale et le préfet, l’État a renoncé à cette implantation, parce que les conditions n’étaient pas réunies.