Parler à l’article 1er du cancer, à l’article 2 de la maladie d’Alzheimer, à l’article 3 des maladies cardiovasculaires, à l’article 4 du diabète, ce n’est pas le rôle d’une loi de santé. Ce n’est pas le rôle des parlementaires que de déterminer ce qu’est le bon traitement pour des maladies prises les unes derrière les autres.