Nous disons oui à la lutte contre l’alcoolisme, et oui, aussi, à la promotion de la gastronomie et du vin. Et cela n’est pas contradictoire, c’est de bon sens ! Alors, arrêtons cette guéguerre des amendements, qui discrédite l’action politique.
Après le vin, j’en viens au tabac. Nous pensons que l’application de la directive de l’Union européenne est suffisante. Pourquoi vouloir en faire plus que ce que nous demande l’Union européenne ? Il n’y a pas que le paquet neutre qui permette la sortie du tabagisme. Les dispositions de ce texte concernant le vapotage clarifient certains points.
Nous avons également rencontré les buralistes. Lutter, au nom de la santé publique, contre le tabagisme, c’est légitime. Mais la fermeture, jour après jour dans nos communes rurales, de bureaux de tabac où l’on peut souvent accéder à la presse et à divers services, doit aussi nous interpeller. Nombre de ces buralistes ont beaucoup investi, et il faut les aider dans l’évolution de leur métier.