Madame la présidente, sans m’adresser à vous – j’ai déjà eu l’occasion de vous déclarer, la voix tremblante, les sentiments que je vous portais –, je regrette simplement qu’un non-inscrit soit de plus en plus maltraité dans cette maison. Depuis un mois, j’essaie de m’exprimer sur des sujets pourtant importants, sans jamais y parvenir. Je ne dis pas cela pour moi, car je ne me plains jamais, mais dans quelque temps, vous verrez que les non-inscrits seront nombreux dans cette assemblée, à moins que les choses n’aient beaucoup changé – en mieux, je l’espère.