J’ai bien entendu votre réponse, madame la ministre ; mais si mes amendements ne relèvent pas de la loi et que c’est au ministère de l’enseignement supérieur et au ministère de la santé de prendre position sur le sujet, alors considérez ces amendements comme des amendements d’appel, qui essaient de mettre en lumière des difficultés sur lesquelles on a appelé notre attention.
L’amendement no 514 concerne lui aussi un sujet très important, puisqu’il s’agit d’inscrire dans la politique de santé de l’État la formation médicale en matière de néonatologie et l’accompagnement des parents d’enfants nés prématurément.
À ce propos, je signale que je travaille à la rédaction d’une proposition de loi relative aux prématurés et aux nouveau-nés vulnérables et que j’ai créé à l’Assemblée nationale un groupe de travail sur la question, qui est ouvert à toutes et à tous : les collègues qui souhaiteraient y participer dans la perspective du dépôt d’une proposition de loi en début d’année sont les bienvenus.