Il s'agit d'une reconnaissance automatisée. L'idée est d'être capable de traiter le flux des accédants de manière automatique.
Concernant la réserve citoyenne, la cybersécurité couvre trois domaines : la cyberprotection – qui englobe toutes les mesures préventives –, la cyberdéfense – consistant à réparer les conséquences d'une attaque, voire à contre-attaquer, volet très consommateur en ressources humaines et où peuvent être sollicités les réservistes citoyens – ; la cyberrésilience ou expertise technique sur les produits de sécurité – dont est chargée la DGA ainsi que la direction interarmées des réseaux d'infrastructure et des systèmes d'informations de la défense (DIRISI), qui héberge de manière sécurisée un certain nombre de sites web du ministère. On fera donc appel à la réserve citoyenne dans le domaine de la cyberdéfense.