Au-delà des États-Unis et de l’Europe, nous devons
mobiliser un front mondial. Nous sommes à l’heure de vérité : chacun doit prendre ses responsabilités et dire clairement que l’ennemi en Syrie, c’est Daech.
Cette position doit être sans ambiguïté celle de tous les pays de la région, car laisser Daech proliférer, c’est faire planer une menace de déstabilisation de tout le Moyen-Orient.
Demain, le Président de la République sera à Moscou.