La France doit prendre ses responsabilités et obtenir, lors du prochain conseil européen, qu’un terme soit mis à ces sanctions ou, pour le moins, qu’elles soient suspendues. L’enjeu n’est pas de savoir si le président russe joue une partie d’échecs diplomatique, parmi bien d’autres acteurs orientaux ou occidentaux ; l’enjeu est de mettre tout le monde en ordre de bataille.
L’accord sur le nucléaire permet aussi d’envisager la réintégration de l’Iran dans les discussions. Son influence sur le conflit syrien et la présence de ses forces spéciales sur le terrain en font, qu’on le veuille ou non, un élément clé de la victoire au sol.