Notre action devra s’inscrire dans le cadre du droit international. Pour l’instant, la résolution 2249, votée à la demande de la France, n’est qu’un texte déclaratoire et symbolique. C’est un premier pas, un premier pas utile mais insuffisant. Nous devons obtenir du Conseil de sécurité l’adoption d’une résolution placée sous le chapitre VII de la charte des Nations unies, le seul qui prévoie l’autorisation de l’usage de la force, le seul qui permettrait de mettre nos adversaires au ban de la communauté internationale.