Un an plus tard, en août 2013, le Président de la République a manifesté la volonté de frapper Damas, quelques jours après l’utilisation par le régime syrien d’armes chimiques contre sa propre population, et cela, personne ne pourra l’oublier. Nous agissons non pas uniquement pour des raisons morales, pour des raisons éthiques, mais au nom aussi de ce qui s’est passé dans ce pays.
Vous dites qu’il ne fallait pas sanctionner la Russie.