Dès lors que la présomption de nocivité réduite de la cigarette électronique aura pu être scientifiquement confirmée, il apparaît souhaitable que le consommateur adulte puisse recevoir une information précise au sujet de ces nouveaux produits. À titre d’exemple, il s’agirait de l’informer des principes physiques et techniques de leur fonctionnement et de lui communiquer une analyse des risques et bénéfices liés à son utilisation.
Cet amendement vise ainsi à s’assurer que les produits vendus ont été analysés et que le ministère de la santé a la capacité de dire au consommateur qu’il peut les utiliser sans danger. Refuser une telle information serait admettre qu’on ne se préoccupe pas de la nocivité éventuelle de ces produits et qu’on ne cherche pas à la réduire. Il est plus facile d’interdire ou de cacher que d’expliquer…