Monsieur le président Jacob, je trouve extrêmement étonnant que vous m’interpelliez de cette manière. Pour ma part, je fais preuve de respect à votre égard. Vous critiquez le manque de débat, mais vous demandez au Gouvernement de rester muet !
J’en venais, précisément, aux débits de tabac. Pour bien les connaître dans ma circonscription, j’ai parfaitement conscience de leur place et de leur rôle dans les communes, petites ou moins petites.