L’honnêteté impose de dire que la loi Fillon participe de l’équilibre ; mais elle n’est pas la seule à y contribuer et, sans la loi du 20 janvier 2014, nous ne constaterions pas aujourd’hui le redressement des comptes évoqué par Mme la secrétaire d’État et plusieurs des orateurs qui m’ont précédé.
Le déficit s’élevait à 6 milliards d’euros en 2011 ; il est de 600 millions aujourd’hui et nous atteindrons l’équilibre en 2016. Personne ne peut nier la réalité de ces chiffres.