Monsieur Vercamer, vous avez cité Jean-Marc Ayrault, selon qui le temps de débat au Parlement n'est jamais du temps perdu. Je vous rejoins sur ce point, et j'ai apprécié le début de votre intervention, dans laquelle vous avez dressé un réquisitoire assez sévère de la période 2008-2011, marquée par l'augmentation du chômage des seniors et par l'inemployabilité croissante de certains de nos jeunes, faute d'une formation adaptée aux exigences de notre économie. Je partage votre constat, comme la plupart ici, sans doute.