Monsieur le président, madame la secrétaire d’État, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, j’ai bien entendu tous les arguments avancés. Comme nous tous, je salue le monde associatif. Votre proposition paraît séduisante au regard du travail accompli par nos concitoyens au sein des associations. Pour autant, il me semble qu’il s’agit d’une fausse bonne idée.