Je ne cache pas qu'il s'agit d'un amendement très parisien, visant à combattre la multiplication des résidences secondaires dans la capitale. Il est déjà possible d'augmenter la taxe d'habitation de 20 % pour les locaux d'habitation non affectés à l'habitation principale ; nous proposons aujourd'hui d'aller plus loin en donnant aux collectivités la possibilité de supprimer l'abattement de 50 % utilisé pour le calcul de la taxe foncière applicable à ces biens immobiliers.