J'ai été l'un des rares à combattre, en tant que rapporteur spécial à l'époque, la « taxe Chirac ». Pourquoi ne pas créer une taxe sur les voyages en TGV, tant qu'on y est ? Si l'on voulait financer ONUSIDA, il suffisait de le faire par redéploiement, et l'affaire était réglée ! Par ailleurs, les sommes en jeu sont ridicules. C'est « t'as pas cent balles ! »