J’imagine. Il n’empêche qu’en 2010, il s’était exprimé dans ce sens.
Je ne referai pas ici le débat qui a déjà eu lieu en commission. Pour notre part, nous pensons au contraire que cet encadrement juridique nous permettra de passer enfin à une phase opérationnelle qu’attendent les équipes qui s’occupent de ces drogués dans des situations extrêmement précaires. Pour me faire une idée, j’ai relu le rapport d’activité de l’association parisienne Gaïa, que vous connaissez sûrement, monsieur Goujon, et qui montre à quel point ces publics sont précarisés. Nous devons enfin leur permettre de disposer d’un espace sécurisé.