Défavorable, bien sûr. Mme Fraysse a très bien indiqué notre position : nous ne considérons pas que nous nous engageons dans une perspective si positive que cela, dans la mesure où nous prenons en charge des personnes dans des situations dramatiques d’addiction que nous ne pouvons que regretter et, d’ailleurs, condamner.
La question est de savoir si nous fermons les yeux ou non. Nous avons choisi de ne pas fermer les yeux.