La commission n’a pas accepté cet amendement, car elle a considéré qu’il convenait de laisser les agences régionales de santé organiser les plates-formes d’appui dans les conditions fixées par l’article L. 1411-11 du code de la santé publique : il leur appartient d’organiser l’accès aux soins de premier recours, ainsi que la prise en charge continue des malades. Elles doivent donc pouvoir élaborer un dispositif en toute autonomie, en cohérence avec les spécificités territoriales.