Je remercie à cet égard M. Robinet d’avoir reconnu que ma démarche ne leur était pas hostile. Oui, monsieur le député, nous aimons tous les médecins. Étant aussi leur ministre, je suis attachée à leurs conditions de travail, comme je suis très sensible au malaise qui s’est emparé du milieu médical : il n’est nullement question de le nier ; mais ce malaise, la question du tiers payant l’a révélé et cristallisé.