Il tient à divers facteurs : horaires sans fin, difficultés d’exercer dans certains territoires, sentiment d’un manque de reconnaissance sociale, sentiment que les patients sont moins respectueux ou qu’ils arrivent avec des demandes précises, sans écouter le professionnel, après avoir glané des informations sur internet.
Je suis attentive à toutes ces préoccupations : et c’est précisément à cette question du malaise global que la conférence nationale de santé doit pouvoir apporter de nouvelles réponses.