Je dis donc aux médecins libéraux que, s’ils ne veulent pas que les débats sur l’avenir de la médecine soient uniquement menés par la médecine hospitalière et les jeunes praticiens, ils feraient mieux de participer à cette conférence. Je me réjouis, par ailleurs, du travail positif et constructif que nous menons avec les jeunes praticiens.
Au-delà de cette question, les médecins expriment deux préoccupations que je crois tout à fait légitimes. La première tient au respect de l’indépendance de leur exercice. Ce que demandent en effet les médecins, c’est de ne pas se retrouver pieds et poings liés, à la merci des organismes complémentaires.