Oui, mais peut-on rappeler les plafonds de ressources – 720 euros dans un cas, et 930 dans l’autre – qui y donnent droit ? Combien de nos concitoyens, dont les ressources sont supérieures à ces plafonds, rencontrent également, chaque mois, voire chaque jour, des difficultés ?
Il faut donc mettre cela en perspective quand on parle du tiers payant. Et il n’y a pas de patient, de malade qui considère que tout cela serait gratuit.