Le souhait de priver l’université de sa participation au développement professionnel continu est pour le moins étonnant, notamment s’il émane de M. Hetzel. L’université ne prétend pas, comme vous l’indiquez dans l’exposé sommaire, monsieur Tian, contribuer à la gestion de cette formation. Il est toutefois difficile d’imaginer que le DPC se prive entièrement de l’expertise et des compétences de l’université. Cela constituerait une manifestation de défiance totale des médecins installés envers l’université où, pourtant, s’élabore et progresse la connaissance. Cette vision quelque peu passéiste de la formation des médecins, se privant totalement de l’innovation, conduit très raisonnablement à émettre un avis défavorable.