Avant de parler sur l'article 3, je souhaite réagir aux propos que je viens d'entendre.
Il est terrible de constater que si nous sommes d'accord sur le diagnostic, nous divergeons sur la méthode. Selon vous, il suffit de demander à un régime, qui est source de dysfonctionnements et qui souffre d'un problème de crédibilité, de modifier son comportement pour qu'il le fasse. Selon nous, il ne le fera que si nous prévoyons des garde-fous et que nous lui imposons des obligations légales.
Imaginez que, dans six mois ou un an, nous constations que vos recommandations sont restées lettre morte ?