Ma chère collègue, nous sommes tous parlementaires, mais nous avons tous une vie par ailleurs. Nous exerçons, ou avons exercé, des métiers différents – aussi respectables les uns que les autres. Et il nous arrive à tous, lorsque nous défendons un dossier, de faire référence à notre expérience socio-professionnelle. Après tout, c'est en cela que nous ne sommes ni des députés « hors sol », ni de simples apparatchiki.
Monsieur le président, si je me suis permis cette remarque, qui sort de l'examen de l'article 4, c'est parce que je suis convaincu que notre rapporteur, qui croit à cette proposition de loi, entendait seulement évoquer son vécu professionnel.