Intervention de Manuel Valls

Séance en hémicycle du 1er décembre 2015 à 15h00
Questions au gouvernement — Relations avec la turquie

Manuel Valls, Premier ministre :

…et un seul depuis 2012. Il n’y a pas de raison d’accélérer ce processus, ni de le ralentir ; le Président de la République l’a d’ailleurs rappelé très clairement dimanche. L’issue de ces négociations est incertaine, mais l’adhésion turque sera de toute façon soumise à l’approbation par référendum du peuple français le moment venu.

Sur ces sujets, monsieur le député, nous sommes face à des dossiers particulièrement sensibles : chacun doit participer à la lutte contre le terrorisme et à la lutte contre Daech. Le rôle de la France, et c’est sa force, c’est de parler à tous, de ne pas créer des divisions – elles existent déjà dans le monde arabo-musulman entre chiites et sunnites – afin que chaque pays, notamment les voisins, assume pleinement ses responsabilités.

Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cette intervention.

Inscription
ou
Connexion