Des milliers de salariés sont inquiets pour leur emploi. Je les comprends d’autant plus que les décisions gouvernementales ne font pas la différence entre les anciens moteurs diesel, effectivement très polluants, et la nouvelle génération, qui rejette moins de gaz à effet de serre que les moteurs à essence.
Monsieur le Premier ministre, en plus du fait qu’il s’agit là d’une nouvelle fiscalité sur les ménages, ne pensez-vous pas que cette croisade anti-diesel risque de porter un coup très grave à l’industrie automobile française, avec un impact très lourd sur l’emploi ?