La troisième raison, c’est la nécessité d’utiliser au mieux les biocarburants. C’est un autre mouvement, certes modeste, s’agissant de fiscalité. Votre attachement, madame la députée, à l’usine de Trémery, comme à celle de Metz, que je partage, pour bien connaître cette région, n’interdit pas de donner un signal à l’ensemble de nos industriels, lesquels ont toujours su s’adapter.
Nous prenons un virage, mais ce n’est pas forcément un virage serré. C’est une convergence de la fiscalité qui est étalée dans le temps : plus 1 centime sur le diesel, moins 1 centime sur l’essence – cette année et l’an prochain –,...